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BVA - La vie immobilière des Français - 0 views

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    Des Français peu nomades et assez conservateurs dans leur conception de la vie immobilière Loin de vouloir expérimenter divers lieux de vie, les Français aspirent dans leur majorité (79%) à s'installer dans un endroit et à y rester le plus longtemps possible. Dans les faits, ils habitent dans près de 3 départements différents et déménagent 5 fois au cours de leur vie. L'idéal de vie poursuivi par les Français reste classique : accéder à la propriété (84%) et habiter une maison (78%), si possible en bord de mer (50%). A l'encontre des idées reçues, les jeunes n'ont pas une conception différente des autres générations. Un idéal de vie impossible à atteindre ? Habiter une maison est un rêve relativement accessible : si 78% des Français ont cette aspiration, 62% l'ont concrétisée. Mais recherchée par 84% des Français, l'accession à la propriété ne concerne que 58% d'entre eux (51% en Ile-de-France). Le lieu de vie peut aussi être objet de frustrations. Si les Français aimeraient vivre de préférence en Provence-Alpes-Côte d'Azur, Occitanie ou Nouvelle Aquitaine, le top3 de leurs régions préférées, ils résident le plus souvent en Ile-de-France ou en Auvergne-Rhône-Alpes. Au final, 62% des Français vivent actuellement dans leur région idéale (84% chez les Bretons). Ils sont également plus urbains qu'ils ne le souhaiteraient. Le déroulé de la vie immobilière, fortement influencé par la vie de couple Lorsque les Français déménagent, c'est avant tout suite à un mariage/concubinage (pour 43% des personnes interrogées), puis suite à un changement professionnel (40%) ou à la naissance d'un enfant (33%). L'union est également le premier évènement de vie venant concrétiser l'achat du premier logement.
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CESE - Résolution - Construire Demain - 0 views

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    La crise du Covid-19 a bouleversé nos vies, elle a révélé et parfois même exacerbé les inégalités et les failles de notre société. Le CESE ainsi que l'ensemble des représentants des organisations qui y siègent se sont organisés pour réfléchir collectivement à « l'après ». Ce sont ainsi toutes les formations de travail qui se sont attelées, aux côtés de la société civile, à identifier les sujets et les actions à mettre en place pour se préparer aux conséquences de cette crise sanitaire. La résolution « Construire demain » donne les pistes d'actions du CESE pour aborder l'après Covid-19. Patrick Bernasconi, président du CESE et rapporteur de la résolution, déclare : « Cette crise sanitaire nous a amené à poser un regard nouveau sur nombre de sujets qui touchent à notre quotidien, à celui de nos concitoyens, à notre pays, à l'environnement dans lequel nous vivons, à notre devenir. » Produite par la société civile organisée, elle est articulée autour de quatre axes interrogeant notre modèle, nos modes de délibération, nos investissements et notre protection sociale. Ces quatre axes, ensemble, dessinent un horizon et des pistes pour aujourd'hui. Martine Vignau, membre du Bureau du CESE, déclare dans la présentation faite à l'assemblée : « Cette résolution, produite par la société civile organisée, au plus près du terrain, à vocation à dépasser les murs de notre chambre pour irriguer l'ensemble de la société. Elle est une des réponses au bouleversement du monde qui vient, une réponse résolument optimiste, celle d'une société portant en elle une confiance résolue dans l'avenir. » Repenser notre modèle, délibérer ensemble, cibler nos investissements, développer nos protections, tel est le combat qu'il convient de mener avec détermination pour redonner confiance à toutes et tous. Pour y parvenir, le CESE propose un chemin : Définir la société que nous voulon
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Odoxa - Les Français et la mobilité : la voiture est toujours plébiscitée et ... - 0 views

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    "Jamais les modes de transports et moyens de mobilité mis à disposition des Français n'auront été aussi nombreux et diversifiés et jamais ils n'auront autant été utilisés. 7% des Français utilisent ainsi déjà la trottinette électrique, 13% les scooters et motos et près d'un Français sur deux (48%) utilise (réutilise car c'est un « come-back ») le vélo ! 0 % Mais surtout, ces modes de transports nouveaux ne sont pas vécus à l'exclusion des « anciens » moyens de transport comme les transports en commun et la voiture, mais bien en complémentarité avec ceux-ci. D'ailleurs, 28% des Français - le double en région parisienne - utilisent plusieurs moyens de transports distincts pour leurs trajets quotidiens. 0 % Surtout, la « concurrence nouvelle » de ces nouveaux modes de transports n'induit pas de rejet des modes de transports traditionnels. Au contraire, notre étude montre même que la voiture est toujours, et de loin, le mode de transport le plus utilisé (93% des Français l'utilisent dont 47% tous les jours ou presque) mais surtout, le plus apprécié y compris par ceux qui l'utilisent moins (par incapacité). Ainsi, en passant au crible plus d'une dizaine de dimensions s'agissant des critères les plus importants en termes de mobilité, et en mettant en concurrence la voiture avec l'ensemble des autres modes de transport, c'est l'auto qui vire largement en tête. Enfin, et surtout, notre étude sur la mobilité nous permet de montrer toute la diversité des comportements, usages et attitudes des Français en les distinguant en 7 grandes catégories de populations en termes de mobilité. Ces groupes ont pu être constitués à la fois en tenant compte des rapports spécifiques à la mobilité enregistrés dans l'étude, mais aussi en intégrant les dimensions socio-démographiques inhérentes à l'enquête. Des « multimodaux » ou des « écolomobiles » urbains, jeunes et diplômés aux
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Rapport - Rapport d'infor... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Infographie - Rapport d'i... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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IFOP - Enquête d'opinion auprès des habitants des villes moyennes - 0 views

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    Réalisée à la sortie de cette période de confinement marquée par l'essor du télétravail, l'édition 2020 du Baromètre des Territoires montre que près d'un quart des actifs habitants des grandes villes (de plus de 100 000 habitants) envisagent de déménager de leur logement actuel (soit 23% de l'échantillon concerné). Ce taux atteint même 36% chez les jeunes actifs des grandes agglomérations de moins de 35 ans. 10% des actifs des grandes villes (soit près de 400 000 personnes) ont même tout à fait l'intention de le faire ce qui pourrait se traduire par des mouvements de population conséquents. A la question posée de savoir dans quel type de ville vivre idéalement, les habitants des grandes villes souhaitent habiter en premier lieu en ville moyenne (pour 50% d'entre eux, contre 30 % dans une grande ville, 13% dans une petite ville et seulement 7% dans un territoire rural). De manière générale, ce sondage souligne que la large majorité des Français préfère vivre dans une ville moyenne plutôt que dans une grande métropole (84 % des Français). Ce constat est partagé aussi de manière encore plus forte chez les habitants des villes moyennes (87%), montrant leur fort attachement à leur territoire de vie. Alors que les grandes métropoles ont longtemps bénéficié d'une bonne image auprès des jeunes, il est intéressant de souligner la forte attractivité des villes moyennes auprès des moins de 35 ans qui affirment préférer y vivre plutôt que dans une métropole (82% des Français de moins de 35 ans), ces chiffres pouvant peut être être annonciateurs d'un changement de tendance en matière de dynamique démographique territoriale pour les années qui viennent. Pour l'ensemble des Français interrogés, les villes moyennes sont notamment perçues comme étant les plus aptes à s'adapter aux défis du changement climatique (33%, contre 27% pour les petites villes, 22% pour les territoires ruraux et seulement
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Terra Nova - Comment financer la lutte contre le changement climatique ? De nouveaux ou... - 0 views

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    Pour tenir les engagements pris au sommet de Paris lors de la Cop 21 en 2015 et limiter le réchauffement global de notre planète, nous devons investir massivement dans la transition de notre économie et de nos modes de vie. Pourtant, nous ne mobilisons pour le moment qu'une faible partie des sommes nécessaires pour financer la transition énergétique et permettre aux pays en développement de s'adapter au changement climatique. Comment faire mieux et accélérer les décisions alors que nous avons déjà pris du retard dans le calendrier visant à ne pas dépasser 2 °C de réchauffement à la fin du siècle ? Il faut concevoir et lancer de nouveaux outils financiers permettant de diriger des capitaux vers des programmes de transition et les actions d'adaptation dans les pays les plus fragiles. Nous proposons ici la transformation d'une partie de la dette des pays en développement en dette verte. Il s'agit de programmes innovants permettant d'annuler des dettes de pays à mesure que des actions pour la transition ou l'adaptation sont menées. Ils apparaissent particulièrement adaptés pour des pays très endettés et fragiles financièrement. Ces mécanismes permettent en effet de concilier la nécessaire lutte contre le réchauffement et les actions d'adaptation et le non moins nécessaire développement économique. La conditionnalité des remises de dette permet de vérifier l'engagement effectif des pays dans leurs programmes de lutte contre le réchauffement, sans risquer de conforter la mauvaise gouvernance par des allègements de dette confortant des pouvoirs en place indépendamment de leurs efforts réels pour l'avenir de leur population. Mais cet outil adapté aux pays endettés ne doit pas être perçu comme un effort unilatéral des pays en développement. C'est pourquoi, il serait opportun de favoriser en parallèle un outil s'adressant à tous les pays, y compris les pays industrialisés : les obligations à impact environnemental. C
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Crédoc - Baromètre du numérique - édition 2023 - Rapport - 0 views

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    "Les résultats présentés sont des résultats redressés : ils sont donc représentatifs de la population de 12 ans et plus résidant en France métropolitaine et, à ce titre, mis en regard des précédents résultats, issus d'enquêtes menées en face-à-face. Les résultats sont présentés en trois parties : La première partie s'intéresse aux principaux taux d'équipements (en téléphone fixe, téléphone mobile, ordinateur à domicile, mais aussi smartphone, tablette, connexion internet à domicile et télévision) et présente la proportion d'internautes et d'internautes quotidiens dans la population française ainsi que les modes de connexion les plus couramment utilisés à domicile. D'autres équipements plus récents sont également passés en revue : enceinte connectée, objets connectés La seconde fait le point sur les usages, en distinguant les usages sur téléphone mobile (navigation sur internet et messageries instantanées) et, plus largement, en étudiant les usages sur internet (achat, réseaux sociaux, e-administration, recherche d'emploi …). Pour la première fois, des questions s'intéressent à la pratique de jeux en ligne. Un volet de l'enquête est dédié cette année à la satisfaction des usagers quant à la qualité de service sur les réseaux fixes et mobiles. Des questions sur le télétravail ont été reprises, et, pour la première fois on s'intéresse à l'usage radiophonique et télévisuel, en tentant de dresser les pratiques et les préférences des Français en la matière. La dernière partie évoque plus largement le numérique dans la vie quotidienne, que ce soit en termes de temps passé sur les écrans (dont le temps passer à jouer) ou de rapport au numérique et précautions prises, ou pas, dans l'usage d'internet : confiance, place donnée aux plateformes, protection de la vie personnelle, paramétrage des cookies, recours à la reconnaissance digitale ou faciale, recours aux fo
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Sénat - Délégation à prospective - Rapport d'information sur les mobilités da... - 0 views

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    À l'issue du rapport de la délégation à la prospective du Sénat de novembre 2018, et après le vote de la LOM, il a paru nécessaire d'approfondir la question de l'avenir des mobilités dans les espaces peu denses3(*), qui sont marquées à la fois par de multiples initiatives et innovations, mais aussi par la difficulté à pérenniser les expériences, à monter en puissance et faire changer les habitudes profondément ancrées d'utilisation quasi-exclusive de la voiture pour tous les déplacements individuels. Ce mode de transport s'avère en effet le plus souple et le plus efficace dans ces espaces, à condition bien entendu d'en avoir les moyens. Ayons cependant à l'esprit que le modèle automobile dans tous les types de territoires sera nécessairement appelé à évoluer avec la perspective d'ici 2040 de la fin des moteurs thermiques, en application de l'objectif de décarbonation des déplacements, ainsi qu'une révolution technologique liée à l'automatisation et à la diffusion de véhicules autonomes. À plus court terme, le passage de la vitesse maximale autorisée de 90 à 80 km/h sur les routes secondaires contribue à changer le rapport à la route. Les nouveaux travaux menés par la délégation à la prospective sur la question des mobilités ont visé à imaginer la transformation des modes de déplacement dans les zones peu denses à l'horizon 2040. Ces territoires sont de plus en plus prisés en raison des faibles prix du foncier et pour la recherche d'une meilleure qualité de vie que dans les villes denses. L'expérience du confinement du printemps 2020 a probablement renforcé l'attrait pour les campagnes. Pour autant, l'absence de solutions de mobilités adaptées constitue encore un obstacle et un frein dans la vie quotidienne qu'il convient d'examiner avec attention. Cela apparaît comme une nécessité sociale et écologique, mais également de cohésion territoriale dans la République.
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Elabe - Les Français et leur logement - 0 views

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    Une majorité de Français estime vivre dans un logement qui correspond à ses besoins. Ce constat ressort d'une étude réalisée, début 2018, par le cabinet Elabe pour le compte du Crédit Foncier, auprès d'un échantillon de 2 408 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Quatre personnes interrogées sur cinq répondent que le logement qu'elles occupent correspond totalement (9 %) ou en grande partie (70 %) à leurs besoins ; 85 % d'entre elles considèrent leur habitation comme un cocon et un lieu de vie pour recevoir. Seuls 14 % des Français décrivent un logement purement fonctionnel "un lieu de passage, un toit sous lequel dormir". La plupart des Français partagent également une définition commune des critères "qui comptent" pour choisir ce logement : ils identifient pas moins de huit exigences (importance attribuée supérieure à 7/10 sur une échelle de 0 à 10), aux premiers rangs desquels la charge mensuelle de logement, le type d'habitation (maison ou appartement), l'état général, la surface totale, le nombre de pièces et l'exposition/la luminosité. Concernant la localisation et l'environnement du logement, ils ajoutent la proximité aux lieux fréquentés (travail pour les actifs, établissements scolaires pour les parents) et le calme. Même si l'on doit nuancer ces chiffres selon les régions et la taille de la commune de résidence, ce sont toujours au minimum les trois quarts des personnes interrogées qui déclarent avoir réussi à trouver un logement répondant à leurs besoins : le niveau d'adéquation du logement est d'autant plus élevé que les prix de l'immobilier sont bas, c'est-à-dire dans les communes de moins de 20 000 habitants et en province. On peut noter aussi que les propriétaires sont plus satisfaits que les locataires, et les occupants de maisons davantage que ceux d'appartements. Les Français projettent, lors de leur installation, d'y
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CORREF - L'encyclique Laudate si' et la vie religieuse - 1 views

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    "L'encyclique Laudate si', sur la sauvegarde de la maison commune, a un propos plus large qu'une simple soutien aux propositions écologiques de tous ordres. Il s'agit de la vision d'une écologie intégrale, d'une révolution de perspective où environnement, souci des pauvres, développement et justice sont liées, de la mise en œuvre d'un autre mode de vie. Et c'est bien là que nous, religieux, sommes interpelés. La vie religieuse est un style de vie à la suite du Christ. Qu'allons-nous accueillir et changer, à la lecture de ce texte, de notre manière de vivre, personnellement et dans nos communautés ? dans la prise de conscience, avec d'autres, des responsabilités qui nous incombent dans l'avenir de l'humanité, de l'avenir de la terre devenue plus fragile. Lucide et percutante, la parole du pape est aussi appel à l'espérance : « le monde est plus qu'un problème à résoudre, il est un mystère joyeux que nous contemplons dans la joie et la louange ». Dimensions au cœur de la vie religieuse. Sr Joëlle Ferry, 1ère vice-présidente de la Corref"
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Ademe - Impact économique et potentiel de développement des usages du vélo en... - 0 views

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    "Ces dix dernières années, la pratique du vélo dans ses dimensions urbaines, touristiques, sportives ou de loisirs a fortement évolué, portée à la fois par les évolutions sociétales, les importants efforts d'investissement des collectivités et la diffusion du vélo à assistance électrique (VAE). De plus, dans le contexte actuel de crise sanitaire et de reprise progressive de l'activité, les modes de déplacements sont au coeur des interrogations, notamment dans les grandes métropoles où le vélo est une des alternatives pour favoriser un déconfinement durable. L'étude « Impact économique et potentiel de développement des usages du vélo en France », réalisée par les cabinets Inddigo et Vertigo Lab à la demande de la Direction Générale des Entreprises, la Direction Générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer, l'Agence de la Transition Ecologique (ADEME) et la Fédération Française de Cyclisme, dresse un état des lieux des différents usages du vélo en France, y compris les usages professionnels et de leurs trajectoires d'évolution à 5 ou 10 ans. Elle en mesure les effets économiques et analyse les bonnes pratiques internationales en matière de politique « vélo » afin d'éclairer les décideurs publics et privés dans leurs projets de développement des mobilités cyclables, mais également les industriels du cycle, ceux du sport et les professionnels du tourisme désireux de tirer le meilleur bénéfice du retour à la pratique du vélo. En l'état actuel des pratiques, les retombées économiques directes des usages du vélo sont estimées à 9,6 milliards d'euros par an et à près de 80 000 emplois. En tenant compte des activités induites et des bénéfices en matière de santé, les retombées socioéconomiques du vélo pèsent aujourd'hui pour 29,5 milliards d'euros pour une part modale d'à peine 3%. L'atteinte de l'objectif du Plan Mobilités Actives, soit 9% de part modale du vélo dans les déplacements d
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UP' Magazine - Vers une mode durable et éthique : gare au greenwashing ! - 0 views

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    "Le 27 novembre prochain, doit avoir lieu le Black Friday, malgré le confinement, avec son cortège de promotions et d'achats compulsifs (1). Avec la crise sanitaire mondiale, ce rendez-vous sera-t-il « essentiel » ? Avons-nous ouvert les yeux ? D'après certains experts, oui ! L'urgence de produire, de diffuser, de consommer autrement est devenue une évidence. Mais attention au greenwashing qui s'avère souvent être un piège. Selon Nathalie Damery, directrice de l'Obsoco, (études et conseil sur Consommation et société), « On voit se dessiner deux France, celle de ceux qui continuent de courir après le prix le plus bas, et celle composée des « résistants », à la recherche de nouveaux modes de consommation ». Dans son ouvrage « Mode manifeste » qui vient de sortir (2), Magali Moulinet-Govoroff explique : « Le phénomène de la fast fashion, introduit en France au cours des années 1990 par plusieurs enseignes étrangères, a chamboulé les codes de l'habillement par des achalandages hebdomadaires de vêtements neufs de basse qualité et à prix modique, conçus pour être éphémères […] Au fil des années, les acteurs de cette mode sont devenus des empires, les symboles d'un ultraconsumérisme assumé et néanmoins lourd de conséquences. » Or la pandémie de Covid-19 a mis en évidence les problématiques auxquelles les marques et les consommateurs doivent et devront faire face à l'avenir, déclenchant une démarche d'introspection : « le modèle économique de la fast fashion paraît désormais obsolète ». La prise de conscience gagne du terrain, dans un contexte d'urgence écologique et d'urgence économique."
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Saint-Etienne - Communiqué de Mgr Sylvain Bataille pour la fête de Pâques - 0 views

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    "Cette pandémie s'inscrit cependant dans un dysfonctionnement plus large de notre monde : réchauffement climatique, guerres persistantes, question des migrants, du chômage, d'une pauvreté grandissante, des familles en difficultés, de la drogue, du manque de respect de la vie et de la dignité des personnes… Notre avenir dépend de la droiture avec laquelle nous saurons affronter ces questions et du courage que nous aurons pour changer nos modes de vies. D'autres fonctionnements sociaux, économiques et politiques sont possibles et nécessaires, pour davantage de justice et de solidarité. Par-delà les questions techniques et organisationnelles, l'enjeu est d'abord moral et spirituel. L'avenir de notre humanité dépend de notre vision de la personne et de notre capacité à nous engager pour que chacun puisse avoir une vie authentiquement humaine, jusqu'à accepter de se limiter pour un meilleur partage des ressources de notre terre, dans une sobriété solidaire et heureuse, dans une approche de la vie et du bonheur plus humaine et spirituelle que matérielle."
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Ademe - Crise sanitaire : vers des modes de vie plus écologiques ? - ADEME Pr... - 0 views

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    Quelques semaines après la fin du confinement mis en place dans le cadre de l'épidémie mondiale de COVID-19, l'ADEME présente différentes études qui éclairent sur les modes de vie et les aspirations des Français suite à cette crise sanitaire et qui s'inscrivent dans le cycle « Diagnostic commun » lancé par le ministère de la Transition écologique et solidaire. Elle révèle ainsi ce jour son étude « Le télétravail et les modes de vie en lien avec le confinement de 2020 » qui rend compte des impacts du télétravail sur le quotidien des Français en matière de consommation et de mobilité notamment.
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Usbek & Rica - Génération 2050 : à la poursuite des modes de vie de demain - 0 views

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    "À l'occasion de la tenue, lundi 11 décembre au musée des Confluences de Lyon, du forum « Génération 2050 », organisé par Acteurs de l'économie - La Tribune, nous vous proposons d'explorer le futur avec un premier dossier sur l'organisation des modes de vie d'ici à 2050. Qu'il s'agisse d'habitat, de consommation ou de déplacement, la plupart des visions prospectives prennent en compte le double impératif de réduction des gaz à effet de serre et de maîtrise de nos consommations d'énergie. Loin de l'optimisme béat et sauf rupture technologique, aucun bouleversement majeur n'est donc programmé à l'horizon de cette moitié de siècle, la prospective ne venant confirmer que des tendances lourdes et déjà prégnantes aujourd'hui."
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Agen - "L'engagement écologique des chrétiens" Lettre pastorale de Mgr Hubert... - 0 views

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    "Chers diocésains, Il y a cinq ans, le 18 juin 2015, le pape François publiait son encyclique Laudato si'. Qu'en est-il aujourd'hui de l'engagement écologique des chrétiens ? Depuis des décennies, des chrétiens alertent et agissent, sont aux avant-postes de la conversion écologique. Mais nos manières de penser et d'agir ontelles vraiment changé ? La crise du coronavirus a montré comme une évidence que l'encyclique du pape est un texte d'actualité. Il nous faut regarder comment nous pouvons passer de cet éclairage moral à des démarches concrètes, à des choix précis au sujet de nos modes de vie ou de notre consommation. La crise économique et sociale qui vient s'ajouter à la crise sanitaire plonge les entreprises et les familles dans l'inquiétude pour l'avenir. Comment tirer les leçons de ce que nous avons vécu ? Le rôle de l'Église est d'inviter à l'espérance. Il faut que nous donnions des propositions concrètes, imaginions des pistes d'action, suggérions de bonnes pratiques, encouragions des initiatives locales. Parmi les catholiques, il existe encore quelques résistances à Laudato si'. Certains sont inquiets de l'implication sociale de l'Église et trouvent que l'Église ferait mieux de s'investir dans d'autres actions qui semblent plus urgentes. D'autres pensent que l'écologie est à la mode et très colorée politiquement et craignent qu'elle devienne une autre religion. D'autres enfin voient un défi majeur à relever et ont redécouvert pendant la crise du coronavirus la dimension de contemplation, l'écologie humaine intégrale. Entrer dans l'engagement personnel et communautaire La question est de passer aux actes. On ne peut pas se contenter de citer Laudato si', ou de faire référence à François d'Assise. Il faut aussi des réalisations concrètes, même si elles paraissent bien petites par rapport à de grandes décisions économiques. Qu'en est-il vraiment de l
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Forum Vies mobiles - Enquête sur les impacts du confinement sur la mobilité e... - 0 views

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    "Le confinement des Français imposé à partir du 17 mars 2020 pour lutter contre la propagation rapide du Covid-19 est passé par une restriction de leurs libertés inédite en temps de paix, et au premier chef, celle de se déplacer. Au Forum Vies Mobiles nous avons souhaité en évaluer les impacts sociaux, présents et futurs, sur les modes de vie des Français. Il en ressort de fortes disparités dans les pratiques, selon les âges notamment, mais aussi une découverte de modes de vie différents, qui n'est pas sans faire naître certaines aspirations à une modération des déplacements après le confinement."
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Pour la Solidarité - Mobilité durable : repenser notre usage de la voiture in... - 0 views

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    La mobilité est à la base de notre vie quotidienne et de notre économie. Dès lors, comment assurer un développement durable sans un modèle de mobilité qui soit lui aussi durable ? Dans une série de trois notes d'analyse, POUR LA SOLIDARITÉ-PLS se penche sur la nécessité de repenser nos modèles et nos politiques de mobilité. Cette première note s'intéresse à la mobilité individuelle et aux enjeux du tout-voiture. Le concept de mobilité durable est apparu dans les années 1990. Il suggère un modèle de déplacement des individus qui passe par l'optimisation de l'usage de tous les modes de transport. Le concept incite surtout à une réflexion plus large sur l'évolution des conditions socio-économiques et leur impact sur les comportements de mobilité individuelle. Pourtant encore aujourd'hui, notre système de transport, dominé par l'usage de la voiture, semble foncer droit dans le mur, sans parvenir à se remettre en question. Outre l'accélération du changement climatique, nos modes de déplacement posent aussi des problèmes de santé publique et renforcent les fractures sociales et territoriales, ce qui fait de la mobilité un enjeu majeur de solidarité. Cette note d'analyse se propose d'aborder l'enjeu de la mobilité durable au travers de la problématique du modèle du tout-voiture, enjeu principal auquel il faut nécessairement trouver des alternatives.
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